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Edito : 

L’Endothérapie multivalente

Une nouvelle médecine écologique, plus respectueuse du corps humain, qui dérange.

Dans les locaux de la Cité de l’Océan de Biarritz, se tenait ce mois-ci une conférence du docteur Pascal Trotta sur une médecine alternative, qui inquiète l’establishment médical et les multinationales du médicament.

 

Droit dans ses pompes, catholique courageux, le docteur Pascal Trotta n’en démord pas : « Je n’ai pas peur de parler en vérité », fustigeant un gouvernement pieds et points liés par un marché pharmaceutique délirant, dont le postulat de départ n’est plus de défendre les patients, mais de réaliser un véritable hold-up sur leurs portefeuilles, au détriment de leur santé. Certains en prennent pour leur grade, le médecin d’abonder : «  en rendant obligatoire les vaccins, Agnes Buzin a commis un crime contre l’immunité et un crime contre l’humanité ». En période d’épidémie de Coronavirus, cette phrase sonne comme un avertissement.

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Carbone 14

Tout commence dans les années 90, avec les travaux d’un médecin-chercheur nommé le professeur Michel Geffard, proche du philosophe et confrère le Père Pascal Ide [1], avec qui il participa en mars 2005 a un atelier européen organisé par la Pastorale universitaire de Rome, dans les locaux de l’Université Pontificale du Latran, autour du thème intitulé du nom de l’encyclique « Fides et ratio », mettant en relation et non en « compétition », la foi et la raison, faisant de la foi chrétienne : « une instance critique à part entière face aux savoirs qui se laissent traverser//par de l’irrationnel[2] ».   

L’éminent professeur Geffard  est chercheur à l’INSERM, Lauréat d’une des plus grandes distinctions dans le milieu de la recherche médicale, le Prix Bernard Halpern[3], qu’il reçoit des mains du célèbre professeur Jean Bernard, membre du Collège de France. Fort de plus de 500 publications nationales et internationales à ce jour. Le docteur Geffard va se voir proposer dans les années 90, à la demande des médecins neurologues de Bordeaux, de réaliser des recherches sur la sclérose en plaques. Après une mûre réflexion de deux ans, il accepte.

 Dès lors et pendant plus de trente ans, le professeur Geffard va concentrer ses recherches sur ce mal et déceler dans le sang des personnes atteintes par des maladies neurodégénératives ou auto-immunes, des anticorps qui ont pour but de lutter contre des bactéries d’origines intestinales. Le docteur Geffard a tenté de mettre en lumière à travers ses travaux l’importance et la fiabilité des méthodes immuno-enzymatique, ainsi que leur aspect économique peu coûteux, de l’ordre de 5 à 10 fois moins onéreux que des méthodes de recherches classiques portant sur les antioxydants, l’intolérance alimentaire ou les métaux lourds. De plus, les traitements préconisés par le Docteur Geffard sont écologiques, sans toxicité « permettant de soigner en profondeur des maladies difficilement prises en charge par la médecine moderne, qui utilise pour ces maladies des molécules excessivement chères, souvent toxiques et sujettes à la concurrence que se livrent les laboratoires pharmaceutiques ».

 L’immunobilan qu’il met au point afin d’établir un diagnostic plurifactoriel permet de connaître les causes d’une maladie en s’articulant autour de trois axes principaux : la perméabilité intestinale, les infections, l’oxydation présente dans le corps ; beaucoup des maladies contractées sont liées à des bouleversements intestinaux, nous explique le docteur Trotta durant son intervention. Fervent catholique, inspiré par la Sainte Vierge Marie qu’il prie quotidiennement, le docteur Geffard entreprend d’utiliser la poly-Lysine, une protéine qui associe plusieurs acides aminés, dont les propriétés, sont de renforcer et de démultiplier la défense immunitaire de manière naturelle : «  c’est une véritable révolution, aussi importante que celle de Flemming en 1928 avec ses antibiotiques qui sauvèrent beaucoup de soldats de 40 ! » abonde le docteur Trotta.

 Mais il existe un véritable problème avec cette nouvelle méthode, c’est qu’elle a été tout bonnement interdite  ! Allez savoir pourquoi ! Suivant le docteur Trotta, la raison est simple : « Quand vous vous attaquez par fidélité à votre serment, à un marché de plus de vingt milliards d’euros, il ne faut pas s’étonner des dommages, les médecins ne sont libres de rien, la méthode du docteur Geffard nous démontre avec une rare pertinence l’inefficacité, dans ces cas de maladie incurable, de la médecine classique ».

 

Descente aux enfers

Le 23 septembre 2019, une trentaine de gendarmes se rendent au domicile du médecin et de sa femme, menottes aux poignets, nos deux septuagénaires se voient mis en garde à vue afin de subir respectivement un interrogatoire de 48 heures. Au même moment, le laboratoire du professeur et investi par les forces de l’ordre qui réalisent une perquisition des ordinateurs et des dossiers des patients. Le même jour le laboratoire est mis sous scellé. Depuis ce sont les patients du docteur Geffard, jusqu’ici fort satisfaits de leur traitement- à en croire les vidéos de soutiens sur la plate forme YouTube de certains des malades - qui sont à ce jour privés de leurs soins, ce qui s’appelle en langage juridique  : « mise en danger de la vie d’autrui ».

 

Disciple et discipline

Aujourd’hui le docteur Trotta est le dernier élève du Professeur Geffard, avec qui il ne peut plus correspondre suivant les obligations enjointes du Tribunal de Grande Instance de Paris. Ce Père de famille de quatre enfants est contraint d’exercer en Espagne s’il veut pratiquer une médecine qui « honore la vitalité du patient », suivant les mots du père Pascal Ide.

Le docteur Pascal Trotta n’a pas le langage consensuel des élites, fort en gueule quand il s’agit de participer à la Manif Pour Tous aux côtés d’Alliance Vita, sérieux, et exalté quand il faut s’exprimer au sujet de sa pratique médicale ou de sa foi catholique. Cette dernière, nourrie par les paroles du Pape Saint Jean Paul II qu’il rencontre une première fois à Rome grâce au concours de son oncle Monseigneur Fougerat, chanoine de Saint Pierre, puis une seconde fois à Lourdes en 2004, où les phrases du Saint résonnent encore dans son cœur : « N’ayez pas peur », « défendez vos libertés », «  les femmes, sentinelles de l’invisible ». Le docteur Trotta de souligner la place si importante de sa femme dans sa quête spirituelle et celle d’un de ses enfants rentré au Carmel.

Celui qui enchaîne les conférences aux côtés de l’amiral Fourmy nous renvoie sans détour au combat spirituel que chaque catholique doit mener. Ne voulant en aucune façon s’attribuer les travaux de son maître et ami le professeur Geffard, le docteur Trotta qui se dit devoir beaucoup à Sainte Hildegarde, veut contre vents et marées, s’amarrer à une pratique plus humaine et personnalisée, fidèle là encore aux principes qui ont fait de lui un praticien : respect des patients, probité et indépendance, cette dernière étant nécessaire à sa mission de santé publique.

 

Louis-Jean de Barmon

 

[1]Prêtre du diocèse de Paris, Philosophe et Théologien membre de la communauté de l’Emmanuel, il est l’auteur de nombreux ouvrages dont le dernier en date : « Aimer l’autre sans l’utiliser »  éditions de l’Emmanuel.

[2] Voir France-catholique du 22 janvier 2020  entretien avec le père Philippe Cappelle-Dumont.  

[3] Immunologue et allergologue Franco-Russe (1904-1978)

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La Gloire de Dieu c'est l'homme vivant 

par l'abbé Laurent Spriet,

Véronique Lévy et 

Roland Thevenet,

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LES IDOLÂTRES

Ce sont les mêmes, les mêmes toujours, qui incitaient, après le Bataclan, leurs fidèles à porter gerbes et couronnes pour honorer la dérision d’une simple allégorie républicaine, transformant en un sanctuaire/dépotoir nauséeux une célèbre place de Paris ; les mêmes qui vous invitaient chaque soir, pendant qu’ils vous tenaient à leur merci devant leurs litanies des morts il y a peu, à « communier » dans le vide, en applaudissant à heure fixe à vos fenêtres et balcons ; les mêmes qui maintenant souhaitent que vous vous agenouilliez en repentance devant le vide, toujours, le vide de l’absence, le vide de l’homme, le vide de l’Idole, leur vide…
Ne tombons pas dans leur piège : nous vivons de la présence réelle. La question n’est pas de savoir s’il faut ou non s ‘agenouiller, la question est de savoir devant qui nous devons nous agenouiller. Car s’agenouiller, c’est rester debout, non sur ses pieds, mais sur ses genoux, tout en se faisant plus petit devant ce qu’on reconnait plus grand que soi : le sacrifice du Christ sur la Croix, par exemple. Le Fils s’est agenouillé devant le Père et le Père devant le Fils…
C’est pourquoi ces agenouillements de repentance ne sont pas incongrus, scandaleux : ils sont blasphématoires. Ils sont comme ces « #prayfor » dont les réseaux sociaux furent inondés : ils ne disent pas quel dieu ils idolâtrent. Mais nous qui savons qu’ils ne sont que des caricatures, nous ne nous agenouillerons que devant Dieu.
On aurait tort de les prendre pour des imbéciles, ils ne sont pas tombés de la dernière averse. Ce sont des spécialistes de l’ingénierie sociale, des experts de la propagande, des professionnels de la société du spectacle. Ils ont du pognon. Ils sont bien organisés. Ils tiennent les médias. Le nombre de morts immolés à leurs causes prétendument pacifiques depuis deux siècles dépasse ce que nous pouvons imaginer. Sans compter le cortège abominable des enfants avortés par leur volonté, des embryons congelés par leurs soins.
Avant de vous initier à leurs rites incantatoires, ils vous ont appris à déserter la véritable liturgie, à ne plus aimer vos églises, à ne plus vous agenouiller devant l’autel du Père ni la Croix du Fils, à ne plus pleurer en compagnie du Christ – seul vrai Dieu et vrai Homme, et à préférer leurs manifestes aux saintes Ecritures. Ils occupent vos journaux, vos écrans, vos esprits. Ils sont la contrefaçon en guerre contre l’original, le mensonge contre la vérité, l’absence contre la présence, la mort contre la vie
Toujours, il y a toujours eu Caïn et Abel, Ismaël et Isaac, Pharaon et Moïse, le Sanhédrin et Jésus-Christ, Eve et Marie, la terre et le Ciel… Rien de bien neuf, sinon que nous entrons dans une phase finale. Nous en connaissons la fin, grâce au divin Jean de Patmos, nous savons l’heureuse issue :Après la pantomime des gueux, le châtiment de Babylone. Après les rondes idolâtres, le règne du Sacré-Cœur : Alors je l’avoue, j’ai parfois presque envie de leur dire : «Ce que vous faites, faites le vite »…

Roland Thevenet

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UN GOUVERNEMENT FIDUCIAIRE :

 

On peut diviser les « citoyens » en deux blocs : ceux qui « font confiance au gouvernement », parce qu’ils ont bu au biberon l’idée que les hommes de la « res publica » travaillent en leur nom et pour le Bien public. Au nom d’une tradition transmise par la famille et l’école, c’est le vote qui fonde cette croyance. Alors, qu’ils soient sympathisants ou opposants du parti au pouvoir, il se plient à sa politique au nom de cette croyance en espérant des jours meilleurs. Si elle devait s’effondrer, cela les ébranlerait sans doute trop profondément. Tant pis si les jours meilleurs ne viennent jamais...

Et puis il y a ceux pour qui ce « contrat de confiance », pour parler comme Darty, soit n’a jamais existé, soit a été rompu. Ceux là sont les héritiers d’une culture historique, politique et religieuse également familiale ; ou bien ils sont les observateurs critiques des agissements des hommes politiques internationaux ; ou bien les deux : ils bénéficient de grilles de lecture auxquelles le renoncement à l’aveuglement des premiers leur donne accès. Ces grilles peuvent diverger sur des points multiples mais sur le fond, ils sont d’accord : les hommes au pouvoir servent des intérêts qui ne sont pas les leurs. La confiance entre eux et ce qu’on peut appeler le « gouvernement fiduciaire » est rompu. En conscience et sans retour.

Un gouvernement fiduciaire est un gouvernement qui n’existe pas par rapport au bien qu’il fait, mais selon un principe préétabli qui fonde sa valeur. Un peu comme le papier monnaie. Tout le système de valeurs établi par les révolutionnaires l’a été sur le modèle des assignats : en rupture avec la réalité spirituelle, véritablement humaine, de ce qui doit fonder une société. Dans ce système, on croit que les choses ont une valeur ou un pouvoir, un peu comme on croit qu’un billet de 100 euros en un. En réalité, elles ne valent rien. Macron, c’est un peu comme un billet de cinq cent euros : il a une valeur de représentation dans le champ médiatique et législatif. En réalité, il ne vaut rien. Et chaque citoyen, au bas de cette hiérarchie symbolique est ainsi : ils vous font croire que votre vie a une  valeur même infime, mettons de 5 euros. En réalité, dans ce système, vous ne valez rien non plus. N’est-ce pas cela que le Christ cherche à nous faire comprendre en nous demandant de rendre à César ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu ? A chacun, selon sa valeur !

Si ma vie ne vaut rien à l’intérieur du système, elle n’a pas de prix au regard de mon Créateur, de mon Rédempteur, et de cet Esprit libre, vivifiant, aimant, savant, courageux, qui procède des deux. Il ne sert à rien de lutter contre César sur son terrain, qui est finalement si on l’a bien analysé sans aucun charme, aucune vertu, aucune fécondité. Dieu seul est charmant, vertueux, fécond. Et Seul celui qu’il a vraiment oint dispose d’un réel pouvoir et d’une réelle reconnaissance, qui n’est pas seulement symbolique : c’est sur ce socle qu’un Roi Chrétien pourra de nouveau un jour gouverner le pays réel ; sans ce socle, les guignols républicains passent, et nous ruinent avec leur fausse monnaie, leurs fausses paroles, et ce que le Seigneur appellerait « leur méchanceté ». Cette fausse monnaie, cette fausse parole, ne nous laissons pas « marquer » par elles...  Elles sont véritablement le signe de la Bête dont parle Jean. Pour cela, c’est très simple : il suffit de placer sa foi au bon endroit. Celui qui est, qui était, qui vient, est prêt à nous recevoir tous, à partir du bien du plus précieux que nous possédons : notre libre arbitre. Notre souverain libre-arbitre, que la fausse monnaie ne peut acheter si nous y refusons. Ne soyons pas adultères. Ne soyons pas idolâtres. Rompons avec la Bête.

Car le président français n’a d’autres prises, sur le pays réel, que celles que des gens aussi coupés et éloignés de leur être réel que le billet de banque l’est du lingot d’or veulent bien lui accorder. Son pouvoir n’est pas réel. Il est fiduciaire. Comprenez bien cela. Puisque qu’il nous a placés en confinement, profitons-en donc pour réfléchir à notre existence, lire la parole de Dieu, apprendre à Le prier : A Lui seul, en réalité, en tant que Créateur et Donateur de la vie, nous appartenons en vérité. Et contre la Vérité, furieuse, la fausse monnaie, la Bête ne peut que reculer, vaincue.

 

Soeur Faustine et la Pologne : 

 

Une nation qui se livre au diable, une autre qui y renonce : Il suffit de lire l’acte de consécration de la Pologne au Christ-Roi du 19 novembre 2016 prononcé à Cracovie et les 32 articles de la loi sur la bioéthique votée par le Parlement français pour mesurer le fossé qui sépare aujourd’hui une ex-fille aînée de l’Eglise ravagée par deux siècles de gouvernement maçonnique d’une Pologne qui montre le chemin au reste de l’Europe.

De ce point de vue, la lecture du Petit Journal de Sœur Faustine téléchargeable gratuitement en PDF et en eBook sur notre site, que nous soyons novices ou théologiens avertis, se révèle la source d’un grand profit pour la conversion comme pour la sanctification de nos propres âmes.

A propos de la Pologne, on y trouve ceci  :

« Pologne, ma chère Patrie, si tu savais combien d’offrandes et de prières j’adresse à Dieu en ton nom ! » (PJ 1037).   « Ô ma Patrie, combien tu me coûtes ! Il n’y a pas de jour où je ne prie pour toi» (PJ 1187). La constante prière et l’intercession de sœur Faustine ne sont sans nul doute pas étrangères au redressement spirituel de la Pologne, que concrétisa l’«Acte d’accueil du Christ comme Roi et  

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Seigneur de Pologne », célébré en présence des ministres, des présidents de la Diète et du Sénat et de quelque 100 000 fidèles, le 19 Novembre 2016, en son sanctuaire de la Miséricorde Divine, à Cracovie. La voyante polonaise, Rozalia Celakowna (1901-1944), avait prédit ce redressement dans ses Mémoires : « La Pologne ne périra pas aussi longtemps qu’elle accepte le Christ comme Roi au sens plein du mot, si elle se soumet à la loi divine, à la loi de Son Amour. (…) Il y aura un terrible châtiment dans le monde (…). Seuls les États ne périront pas (…) qui le reconnaitront comme leur Roi et Seigneur ».

Le Petit Journal de sœur Faustine est dorénavant traduit et lu dans le monde entier. La prière de l’humble religieuse au seuil de la mort s’est réalisée : « En ce moment, lorsque j’ai pris la plume, j’ai adressé une courte prière au Saint-Esprit et j’ai dit :  Jésus, bénis cette plume, afin que tout ce que Tu m’ordonnes d’écrire, serve à la gloire de Dieu. J’entendis alors une voix :  Oui, je la bénis parce que sur cet écrit est apposé le sceau de l’obéissance à ta supérieure et à ton confesseur, et cela même contribue à ma gloire, bien des âmes en tireront profit. » À travers ce livre s’actue pleinement le fait que sainte Faustine Héléna Kowalska a été, comme Jean Paul II le déclara si justement lors de sa canonisation  un « don de la terre de Pologne à toute l'Eglise »

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